Tout commence par un véritable « festin de famille » chez les dieux. A l’image des hommes, qui célébraient, au moins une fois par mois, au dernier jour, leur solidarité de sang, même avec la part défunte du lignage, par un repas, appelé kispu, au cours duquel, absorbant tous la même nourriture, tous communiaient dans la même vie qu’elle leur apportait et entretenait.
Extrait des commentaires de la version ancienne de Nergal et Éreškigal, pg 456.
Lorsque les dieux faisaient l’homme, Mythologie mésopotamienne par Jean Bottéro et Samuel Noah Kramer, Bibliothèque des Histoires, nrf, Éditions Gallimard.
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