Si l’on pouvait
fermer la porte à l’angoisse !
Si l’on pouvait l’obturer
au bitume, à l’asphalte !
Mais le destin
ne m’a pas laisser m’amuser :
il m’a déchiré,
malheureux que je suis.
Tablette X,colonne V, v 33-35
L’arrivée au but
L’épopée de Gilgameš, Le grand homme qui ne voulait pas mourir, traduit de l’akkadien par Jean Bottéro, l’aube des peuples, Gallimard
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