Ea lui conseille (à Nergal), pour se cacher, non plus, comme dans Inanna et Šukaletuda, de se perdre dans la foule urbaine : les dieux ne sont pas si nombreux ; mais de changer de personnalité, de se rendre méconnaissable en se rasant la tête.
Extrait des commentaires de la version ancienne de Nergal et Éreškigal, pg 456.
Lorsque les dieux faisaient l’homme, Mythologie mésopotamienne par Jean Bottéro et Samuel Noah Kramer, Bibliothèque des Histoires, nrf, Éditions Gallimard
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