L’homme est une corde, entre bête et surhomme tendue, une corde sur un abîme. Dangereux de passer, dangereux d’être en chemin, dangereux de se retourner, dangereux de trembler et de rester sur place. Ce qui chez l’homme est grand, c’est d’être un pont, et de n’être pas un but : ce que chez l’homme on peut aimer, c’est qu’il est un passage et un déclin.
Pg 26
]]>