Et puis encore, du fait que, derrière l’ahimsâ(non violence), se tient l’unité de toute vie, l’erreur d’un seul ne peut qu’affecter la totalité des êtres. D’où il suit que l’homme ne peut jamais se libérer entièrement des forces de himsâ(violence). Aussi longtemps qu’il demeure créature sociale, il ne peut que participer à tout ce qu’implique de himsâ l’existence même de la société.
Pg 445
Dilemme spirituel; Autobiographie ou mes expériences de vérité; Mohandas Karamchand Gandhi; puf; 2007
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