Si je ne tournais sans cesse autour de moi-même, tel un tonneau qu’on roule, comment supporterais-je sans prendre feu de courir après le brûlant soleil ?
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Traduction de « Die Fröhliche Wissenshaft »(édition 1887) par Henri Albert (1869-1921) ; Édition électronique ; Les Échos du Maquis, 2011.
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