La consommation rituelle de l’animal était parfois remplacée par la consommation tout aussi rituelle des prémices de la moisson. Ces cérémonies des prémices très frappantes chez les populations primitives, repose sur l’idée que la plante est animée par un esprit qu’il faut se rendre propice et qu’on peut s’approprier en le consommant. XX Frazer et le cycle du rameau d’or, Nicole Belmont et Michel Izard, Laboratoire d’anthropologie sociale; Collège de France.]]>