En définitive, ne serait-il pas plus exact de revendiquer le pouvoir pour ceux qui ne l’ont pas ? Mais alors, ceux qui le possèdent doivent-ils en conséquence le perdre ? Qui ne voit que le problème est mal posé ? Donner le pouvoir à ceux qui ne l’ont pas, n’exige pas de l’enlever à ceux qui l’ont. Généraliser le pouvoir est l’objectif souhaitable, car dès lors il n’y aura plus de pouvoir. L’erreur précédente vient sans doute de la conception trop étroite qui est généralement propagée de « classes sociales », de l’opposition classique entre capital et travail. La nouvelle grille ; Henri Laborit ; Folio Essai ; Gallimard.Pg 153]]>