1. Les mâles humains aussi sont réputés promener les enfants et rester en famille. Est-il possible que ces derniers millions d’années, il nous soit arrivé quelque chose de semblable à ce qui s’est produit chez les gibbons ? Les appétits sexuels des mâles et des femelles sont-ils devenus convergents, assez, en tout cas, pour faire de la monogamie un objectif raisonnable ? 1: Leighton Donna Robbins, « Gibbons : Territoriality and monogamy », in SMUTS et alii (cfr1) ; 1987 L’animal Moral, Psychologie évolutionniste et vie quotidienne ; Robert Wright ;Folio Documents ;Pg 92]]>