Un autre élément à prendre en considération et qui montre la fragilité du concept de propriété écologique consiste dans le fait que certains biens sont communs à l’ensemble des hommes de la planète : l’atmosphère que nous respirons et les mers qui baignent nos rivages. Or, de même que sur le plan local, les industries utilisent à leur profit et polluent des bien qui ne leur appartiennent pas, l’eau des rivières et l’atmosphère de nos villes et de nos campagnes, sur le plan mondial , la civilisation industrielle est en train de changer la composition de l’atmosphère terrestre, sa température, de la charger d’éléments radioactifs, comme elle pollue nos mers de façon internationale et détruit leur faune. La nouvelle grille ; Henri Laborit ; Folio Essai ; Gallimard. Pg 214]]>